Trois ans se sont écoulés depuis la fin de la guerre et la victoire de Harry Potter sur Lord Voldemort.

Draco malfoy purge sa peine au pénitencier d’Azkaban où il vit une existence misérable, exploité par son père et asservi par les autres détenus. Quand un nouveau directeur prend la tête de l’établissement, il lui propose un marché. Un marché dégradant et humiliant, mais que Draco accepte, n’ayant plus rien à perdre.

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Univers glauque et malsain, avec violences explicites, viols, agressions, tortures, automutilations, mentions de suicide. Syndromes de Stockholm et de Lima. Protégez-vous et prenez soin de vous si ces thèmes vous font du mal.

Peinture d'Albert Lynch

Vous voyez cette femme sur cette peinture ?

Elle s'appelle Ludmila Thomas.

Et malheureusement pour elle, Atlas Avery l'a trouvée belle.

Attention.
La peinture, ça tâche.
Et celle-ci, elle ne partira pas. Alors prenez vraiment garde, car même le meilleur des sortilèges ménagers n'en viendra pas à bout.

« Vous la voyez bien, Melania, sur cette tapisserie, non ? Son nom est toujours brodé de fils noirs et or à côté de celui d’Arcturus. Elle est la mère de Lucretia et Orion Black. La grand-mère de Sirius et Regulus Black, les ultimes héritiers de la Maison des Black. Elle les a connus. Elle adorait Regulus, elle disait qu’il ressemblait trait pour trait à son époux Arcturus. Très intelligent, très respectueux de l’honneur de la Maison des Black, un peu à part, un peu à l’écart du monde, mais toujours calme et pondéré. Un charme discret mais naturel et altier. La paranoïa en moins. »



(image : Orgueil et Préjugés, 2005, retravaillée)

Singulier destin que celui de Melania Black. Saviez-vous qu’elle était écossaise ?
Que coulait le sang des Macmillan dans ses veines ?
Qu’elle fit ses classes à Poufsouffle ?
Qu’elle épousa l’héritier de la Noble et très Ancienne Maison des Black ?
Qu’elle devint la sorcière la plus puissante d’Angleterre ?
Remarquez, elle ne le savait pas non plus. Enfin... pas tout à fait.

TW : violence, sujets sensibles, relations toxiques

Wes Hicks, sur unsplash

Susan avait survécu à l’hiver en instaurant des habitudes, qui étaient devenus des rituels auxquels elle ne pouvait plus se soustraire. Par moment, elle avait été incapable de sortir de son lit. Se laver, manger, boire, lui était apparus plusieurs fois comme étant des tâches insurmontables. Pour donner le change, elle s’était cadrée, s’obligeant à suivre un train-train habituel, dans lequel elle pourrait s’ancrer et ne pas se perdre. Elle était devenu esclave de sa routine qui l’avait pourtant sauvée. Cela l’avait réconfortée même. Rassurée. Elle avait contrôlé son temps, sa vie.

Elle se sentait figée dans une boucle spatio-temporelle, prisonnière d’une cage qu’elle avait elle-même érigé pour se protéger.

Participation au concours Les quatre saisons

À vingt ans, on est invincible, à vingt ans, rien n'est impossible
On traverse les jours, en chantant et l'amour c'est plus important
À vingt ans, on ose tout dire, insouciant mais avec le sourire
Pleurer le grand amour, en chantant, il viendra un jour, il faut du temps

À vingt ans - Lorie

Année 2004:

Pansy est perdue, seule au milieu d'un champ de bataille. Elle regarde le sang, les corps autour d'elle et la silhouette de l'homme qu'elle aime. L'homme qui est responsable de ce massacre. 

Année 1997:

Pansy Parkinson étudie à Poudlard, elle va obtenir ses ASPICS, épousera Drago comme cela est prévu depuis leur cinq ans et ensemble ils éléveront leur fils. 

Mais alors que sa vie est tracée, ses certitudes vasillent. Blaise lui offre une cour discrète puis de plus en plus acharnée. Pansy est perdue entre son coeur et son devoir. 

Et puis si elle suit son coeur, ne va-t-elle pas encourager la fin de tout ce qu'elle connaît? 

WARNINGS: 

L'histoire traitera de: 

Suicide, violence sexuelle, psychologique, physique, avortement, viol, fausse couche, déni de grossesse, mort infantile, usurpation de consentement. 

Édit modération : merci de ne sélectionner que 3 catégories et sous-catégories maximum.

Crédit photo - engin akyurt sur unsplash

La devise des Greengrass était Noli me tangerere.

Veuillez ne pas me toucher.

Daphné avait grandi dans un château d’ivoire où tout était beau et parfait, où les Sang-pur dominaient le monde et étaient au-dessus de tout. Elle avait de temps en temps regardé par les fenêtres pour se rendre compte que la vérité n’était pas si évidente.

Veuillez ne pas me toucher.

Daphné Greengrass termina sa tasse de thé et lissa sa jupe d’organza, tout en continuant de sourire à sa petite sœur. Sa précieuse Astoria, la première personne à lui avoir donné l’honneur d’être une sœur. Elle l’aurait protégée de tout…

Daphné n’avait eu longtemps pour distraction que la douceur des couchers de soleil.

Aujourd’hui, cela ne lui suffisait plus.

Joyeux anniversaire Bloo ♥

« -Honte ? répéta Lily.

De toute évidence, elle ne comprenait pas.

-Oui, honte, insista Iris. Honte de me plaindre alors que j'ai pu réaliser mon rêve. Honte de me sentir si mal alors que si je pouvais remonter le temps et prendre à nouveau cette décision, je recommencerais sans hésiter. Et maintenant que je suis revenue, j'ai honte d'être partie alors que vous vous battez contre Vous-Savez-Qui. Et j'ai honte...

Elle s'interrompit et déglutit avec difficulté avant de poursuivre :

-Honte d'avoir laissé partir Sirius. »

Iris Davidson vient de terminer ses études au collège Poudlard, l’école de sorcellerie, et s’apprête embrasser sa plus grande ambition : partir en tournée avec Frank’n’Stone, son groupe de Wizardrock. Mais alors que le Royaume-Uni s’enfonce de plus en plus dans l’ombre de Lord Voldemort, la jeune fille sera amenée à faire un choix : continuer de vivre sa vie comme si de rien n’était, ou se battre pour une cause qui semble perdue d’avance.

 Image : « The Dark Mark » par Barrett Biggers

Fanfiction terminée