Lily cachait difficilement sa satisfaction. Tout grossier qu’il fût, son stratagème avait fonctionné à merveille : Severus présentait, à n’en pas douter, tous les symptômes de la jalousie. Depuis qu’ils étaient sortis des Trois Balais, laissant derrière eux le reste du groupe, son ami d’enfance n’avait pas décroché un mot. Il marchait à côté d’elle, mâchoire crispée, les mains dans le dos.

Il faut dire que Lily n’avait pas ménagé ses efforts pour enjôler James, lui souriant à pleines dents, le poussant gentiment du coude, buvant dans le même verre, allant jusqu’à déposer, « pour rire », un baiser furtif sur le bout de son nez. James, qui n’aurait pas cru que Lily pût s’intéresser à lui, paraissait sous le charme. Il s’était enhardi à caresser le genou de la jeune fille. Tout ceci s’était passé sous le regard ombrageux de Severus, assis à la table voisine avec ses camarades de Serpentard...

Très librement inspirée de l’œuvre de J. K. Rowling, Vilain garçon, qui prend place à l’époque des Maraudeurs, se veut une histoire d’amours contrariées, tous genres confondus. La trame n’est pas d’une originalité folle, mais j’ai tout de même essayé de lui apporter une touche personnelle. Amatrices et amateurs de bluettes s’abstenir : ce sera triste et trash ! Certains détails « non canoniques » de la jeunesse de Severus rappelleront quelque chose à ceux qui ont lu mon Snarry L’amour et la violence, mais, même si l’idée de cette fic m’est venue alors que je travaillais à la précédente, il ne s’agit pas pour autant d’une préquelle.

Sur ce, bonne lecture !

« Vous la voyez bien, Melania, sur cette tapisserie, non ? Son nom est toujours brodé de fils noirs et or à côté de celui d’Arcturus. Elle est la mère de Lucretia et Orion Black. La grand-mère de Sirius et Regulus Black, les ultimes héritiers de la Maison des Black. Elle les a connus. Elle adorait Regulus, elle disait qu’il ressemblait trait pour trait à son époux Arcturus. Très intelligent, très respectueux de l’honneur de la Maison des Black, un peu à part, un peu à l’écart du monde, mais toujours calme et pondéré. Un charme discret mais naturel et altier. La paranoïa en moins. »



(image : Orgueil et Préjugés, 2005, retravaillée)

Singulier destin que celui de Melania Black. Saviez-vous qu’elle était écossaise ?
Que coulait le sang des Macmillan dans ses veines ?
Qu’elle fit ses classes à Poufsouffle ?
Qu’elle épousa l’héritier de la Noble et très Ancienne Maison des Black ?
Qu’elle devint la sorcière la plus puissante d’Angleterre ?
Remarquez, elle ne le savait pas non plus. Enfin... pas tout à fait.

TW : violence, sujets sensibles, relations toxiques

Fanfiction terminée

Illustration libre de droits 

La vie universitaire, à Oxford, est loin d’être de tout repos.

Ronald Weasley essaie de jongler entre ses études à St Catherine en sciences humaines et sociales, sa fratrie étouffante, et son job à mi-temps pour garder la tête hors de l’eau et conserver sa bourse.

Pour Theodore Nott, étudiant en sciences politiques au sein du Collège Christ Church et fils d’un membre de la congrégation, le droit à l’erreur n’est pas envisageable.

Quant à Susan Bones, jeune femme brillante qui étudie le droit à St Hugh’s, rien n’est plus important que d’obtenir son diplôme à la fin de son cursus. Réussir à tout prix, c’est ce que ces trois étudiants qui ne se connaissent pas – encore – ont à l’esprit.

Seulement, ils n’avaient pas prévu de se retrouver mêlée à Luna Lovegood, étudiante en arts loufoque et délurée, et aux rumeurs qui courent sur elle…

Au point de tout faire basculer en une seule journée.

Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé serait fortuite et, bien que j’ai voulu reprendre certaines des informations concernant l’université d’Oxford et son organisation, il est normal que des éléments ne collent pas à la réalité. Cette histoire est purement fictive, mais elle parle de sujets de société graves tels que le harcèlement, le suicide, la dépression, et l’autodestruction. Réservée aux lecteurs avertis.

Participation au concours de Fleur d'épine "Univers alternatifs en folie"

Trois ans se sont écoulés depuis la fin de la guerre et la victoire de Harry Potter sur Lord Voldemort.

Draco malfoy purge sa peine au pénitencier d’Azkaban où il vit une existence misérable, exploité par son père et asservi par les autres détenus. Quand un nouveau directeur prend la tête de l’établissement, il lui propose un marché. Un marché dégradant et humiliant, mais que Draco accepte, n’ayant plus rien à perdre.

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Univers glauque et malsain, avec violences explicites, viols, agressions, tortures, automutilations, mentions de suicide. Syndromes de Stockholm et de Lima. Protégez-vous et prenez soin de vous si ces thèmes vous font du mal.

Cour de France, règne de Louis XV, 1750.

La Marquise Béatrice de Lestrée et le Baron Roger de Sèvries, deux libertins sans scrupules, manipulent l'innocente Dorothée de Midauve et le naïf Pierre de Petiville, jeunes gens pris d'affection l'un pour l'autre. Mais De Sèvries aime en secret Elisabeth de Poitiers, et court à sa perte, les entraînant tous à sa suite... Toute ressemblance avec le résumé des Liaisons Dangereuses n'est pas fortuite.

Dans le monde des sorciers, La Ligue fait rage entre Albert de Deule de Lore et Thomas de Vole de Mores. De Lestrée et De Sèvries servent ce dernier. Une prophétie tragique touche De Vole de Mores et le petit Henri de Poitiers, enfant d'Elisabeth. De Sèvries doit alors composer entre son allégeance première et ses sentiments... Toute ressemblance avec le début de Harry Potter n'est pas fortuite.

* Joyeux Noël Bellatrix1992 ! *

Suite au triomphe du Seigneur des Ténèbres sur Harry Potter, les vaincus doivent apprendre leur nouvelle place. Hermione Granger a été capturée pour être vendue au plus offrant comme premier pris lors d'une vente aux enchères des membres de l'Ordre et de ses sympathisants. Mais malgré les horreurs du nouveau monde de Voldemort, de l'aide semble surgir de l'endroit le plus improbable. 

Traduit de l'anglais avec l'aimable autorisation de lovesbitca8. Le texte original est disponible en anglais sous le titre The Auction. 

« Mr Dursley dirigeait la Grunnings, une entreprise qui fabriquait des perceuses. C'était un homme grand et massif, qui n'avait pratiquement pas de cou, mais possédait en revanche une moustache de belle taille. »

« Dans son bureau du huitième étage, Mr Dursley s'asseyait toujours dos à la fenêtre. »

« Il réprimanda vertement une demi-douzaine de ses employés, passa plusieurs coups de fil importants et poussa quelques hurlements supplémentaires. »

Et si Vernon Dursley n'avait pas toujours été ce type détestable que nous connaissons ?

Bien avant le 1er Novembre 1981, partons sur les traces du moldu le plus détesté ou presque de tout l'univers Harry Potter.

L'image appartient à Warner Boss