Yeah, Augusta ! o/ « Résistantes » était trop le prompt parfait pour elle, et tu l'as super bien exploité.
Awwwwwwwwww, Muriel ♥ Ce chapitre était bien rigolo ! C'est vrai qu'on y pense pas, mais la famille de Molly est passée proche d'être chez les « mauvais » sang pur, et il y a pas si longtemps que ça ! En même temps peut-être qu'avoir Muriel dans leurs rangs aurait quelque peu calmé leurs ardeurs de temps en temps...
Je ne suis pas vraiment fan de ce couple (dans mon fanon, Remus est asexuel et aromantique, et Tonks lui court après un peu trop obsessivement), mais j'aime bien ce que tu en fais ici. L'image que tu donnes à la lune est très jolie, et j'imagine bien que pour Remus, laisser quelqu'un le voir sous sa forme de loup, c'est la forme suprême d'amour (comme quand il a laissé ses amis le voir à l'école).
Oh wow, vraiment bravo d'avoir peint toute cette vie autour d'un personnage méconnu, c'était vraiment intéressant ! Ça fait plaisir d'imaginer ce genre de résistance chez des adultes normaux aussi, pas seulement l'AD ou l'Ordre.
J'aime aussi le petit clin d'oeil à Rogue, cette idée d'une « amitié » entre eux.
Eh bien, heureusement que je ne suis pas d’humeur trop sombre ! Rien d’explicite ? Mais c’est encore pire, on imagine tout ! Ton texte invoque des images vraiment terribles... Il est encore plus sombre que ceux que j’ai lus précédemment. De peur d’être mal comprise, ça n’est absolument pas un reproche ! Ce récit est très cruel, mais aussi, je trouve, nécessaire. Tu te sers des mots comme d’une arme, tu nous forces à voir toute l’horreur d’un tel acte. Tu n’as pas peur de parler de ce qui choque, de lever le voile sur ces horreurs, hélas bien trop répandues. Et mon petit coeur de pédopsychiatre ne peut qu’approuver – à regret – le réalisme de ce texte...
Je l’avais aussi recommandé à Bloo lors de la lecture de sa super fic Les zibelines triompheront bien, et je l’ai cité dans une de mes notes de chapitres parce que c’est un livre qui m’a profondément marquée : il faut absolument que tu lises, si ça n’est pas déjà fait, le livre La petite fille sur la banquise, d’Adélaïde Bon. Maintenant que j’ai lu ce texte sur Alice Londubat je suis certaine que ça te plaira. Le récit d’années d’errance, « à se battre contre les méduses », mais aussi d’une lente guérison (et j’avoue qu’une petite touche d’optimisme ne fait jamais de mal quand on voit des horreurs toute la journée, n’est-ce pas ? O:) )
La vie n’abandonne jamais : au tréfonds des océans, dans les ténèbres, elle luit.
Merci pour ces moments d’émotion, tu m’en as fait voir de toutes les couleurs !
Dis-moi, tu as le chic pour pointer du doigt toutes les histoires tragiques qui sont écrites entre les lignes de notre saga préférée ! Et pour les rendre terriblement dramatiques. Courbée de force ? Abandonner le contrôle de son corps ? Ça évoque la sidération qu’on peut voir chez les victimes d’agressions... Et ça fait vraiment froid dans le dos.
Pauvre Rosmerta, victime de sa propre bonté ! Et Malefoy, la compassion qu’on peut éprouver à son égard dans le Prince de Sang-Mêlé (pris au piège de l’ambition de ses parents, isolé, terrifié...) en prend un sacré coup. On oublie facilement qu’il a probablement traumatisé la charmante Rosmerta et infligé de graves blessures à la sympathique Katie Bell.
Quelle tristesse, quel gâchis !
Argh ! Mon petit cœur se brise.
Le harcèlement scolaire et ses critiques auto-réalisatrices, il y a de quoi perdre la foi.
Il ne la regarde pas, personne ne le fait jamais.
Mimiii ! Myrtle ! On a envie de la prendre dans nos bras, de la rassurer, de lui dire qu’elle et ses camarades vont bien finir par grandir et que toutes ces moqueries vont bientôt cesser, que tout ça ne sera qu’un mauvais souvenir... Mais non, elle voulait mourir, que tout s’arrête mais c’est raté, elle a dix-sept ans pour toujours. Condamnée à rester entre les murs de Poudlard pour l’éternité, confrontée à des élèves toujours immatures, toujours moqueurs... On est pas loin de Sisyphe là ! Heureusement que je viens de lire Muriel et Augusta, ça m’a donné du courage.
Enfin, j’admire toujours cette capacité que tu as à dépeindre un portrait aussi percutant en aussi peu de lignes. C’est vraiment déroutant. Bravo !
La suivante !
Aloooors...
Avant de lire, je me suis fait la réfléxion que c’était audacieux d’enchaîner Muriel et Augusta, parce que finalement on les imagine assez semblables, et donc deux portraits d’affilée sur des vieilles femmes aigries, ça ne va pas un peu se répéter ?
Mais que nenni, tu me donnes admirablement tort !
Ton portrait n’est pas tourné autour de son franc-parler mais de son courage et de sa résilience face à toutes les épreuves qu’elle a traversé. Et quelles épreuves... Mon coeur se serre toujours quand on mentionne Alice et Frank Londubat. Cette scène à Sainte-Mangouste, dans le tome 5... Pour moi, c’est sans conteste la scène la plus terrible de la saga.
En revanche, quelle jubilation de voir Dawlish mordre la poussière ! Ce mec n’a vraiment rien de noble, à aucun moment. Merci Augusta, et bon débarras !
Tes dernières phrases me donnent des idées : et si au lieu de Molly, c’était Augusta qui avait affronté Bellatrix à Poudlard ? Je trouve que ça aurait été encore plus jouissif. Mais bon, connaissant Augusta, elle a sûrement battu à plate couture quelques Mangemorts au passage... Et l’imaginer si fière de son petit-fils Neville me met du baume au coeur.
Enfin bref, tu l'auras deviné à mon enthousiasme : j’adore tes prompts qui mettent en avant la force et le courage féminin. L’incendie aussi, je peux...
Hello Calixto !
Presque 24 heures de retard, mais mieux vaut tard que jamais n’est-ce pas ? O:)
Tes premiers prompts m’avaient marquée par leur justesse mais celui-là est encore plus frappant. Vraiment, on y croit !
« Répandre des infamies étaient jubilatoires. » C’est exactement ça ! On imagine très bien la petite fille qu’on astreint à l’obéissante et qui découvre le fascinant pouvoir destructeur des mots.
C’est dingue que tu nous mettes dans cette position où on compatit, on soutient, on applaudit des deux mains l’odieuse Muriel, qui a simplement trouvé une échappatoire au carcan de l’oppression féminine. C’est vraiment incroyable de l’avoir si bien écrite, et surtout de nous impliquer à ce point dans cette histoire, elle qui est si détestable dans les livres !
L’autre exploit que tu réalises (exploit que tu renouvelles d’ailleurs à chaque prompt, en tout cas pour l’instant), c’est de la rendre très humaine, très « universelle » finalement, dans le sens où on reconnaît du Muriel dans beaucoup de grand-mères, mères, belles-mères... (J’ai vu que quelqu’un l’avait comparée avec Violet Crawley et c’est très juste, même si on ne peut pas égaler la finesse et le piquant de Lady Crawley haha, ni ses joutes avec Isobel qui sont un régal à chaque fois... ;) )
Et la dernière phrase qui rend justement hommage à la puissance et à la variété infinie de la langue française, c’est très fort... Huit mots pour dire la même chose, en variant le ton ! « Les mots sont notre plus inépuisable source de magie », n’est-ce pas ? Tante Muriel devrait être tout à fait d’accord avec Dumbledore, malgré les critiques acerbes qu’elle adresse à ce dernier ;)
Bravo !
Oulàlà! Je n'aimerais pas être dans sa tête à celle-là!!
Elle a l'air ravagée, mais par quoi je ne comprends pas j'avoue... Comment une gamine de quatorze ans peut en arriver là? Je sais que c'est possible mais ça me questionne.
En tout cas, j'ai adoré la manière dont tu l'as dépeinte.
Tu aimes la difficulté à ce que je vois! Le thème n'était décidément pas facile mais tu l'as tellement bien traité. Je trouve les circonstance de la rencontre super crédible et c'est vraiment très bien écrit.
Bravo!
osé! Mais très intéressant sur Zabini. Il est vraiment au dernier endroit où on l'attendrait mais super crédible.
Je l'imagine bien comme cela!
Coucou!
J'aurais bien aimé revoir Rosmerta dans le sept et je trouve que ce chapitre lui rend bien justice. bravo!!
Tu as abordé un moment très méconnu et je voudrais savoir: selon toi, qu'est devenue Rosmerta?
J'ai trouvé les motivations de Queenies assez inattendues mais très crédibles: le fait que sa prise de conscience passe par le fait qu'elle comprenne que Grindelwald et Dumbledore se sont aimés est très bien trouvé.
Et logiquement il en découle qu'elle prend conscience que tout la dépasse bien plus qu'elle ne le croit!
Bravo!
J'aime beaucoup ce texte, une fois de plus.
On imagine souvent Androméda douce et sage mais ta description d'une femme ardente qui vit tout avec intensité sonne tellement juste!
On peut l'imaginer en morceaux à la fin, brisée par les épreuves mais encore marquée par son bonheur. Je me demande comment, dans la suite, elle se relève et élève Teddy.