Coucou Cal',
Oui c'est moi, il aura fallu du temps mais me revoilà comme promis ! Et quoi de mieux que les Fondateurs pour cela ? :)
Godric et Salazar amoureux, donc. Godric le vaillant chevalier qui est devenu si bleu du petit Serpent qu'il s'effondre avec ce départ en grande pompe si j'ose dire. D'ailleurs, Salazar n'y va pas de mains mortes avec cette sortie théatral. J'veux dire, il nous utiliserait pas la magie noire avec un Feudeymon ?
Cela ne m'étonne pas qu'il ait utilisé ses élèves pour former de nouveaux petits mages noirs. D'ailleurs comment arait selon toi réagit ses élèves à son départ ?
Que Rowena sache mais se taise est plausible. Je veux dire par là que oui, le diadème doit avoir certains pouvoirs ;)
Merci pour cet os ;)
Chris
Pfiou, il est magnifique ce texte.
Je sais, je le dis et le pense à chaque nouveau texte que je lis de toi. En plus, je ne dois saisir qu'une infime partie, je n'ai pas la culture de Ju pour saisir les ref.
Mais qu'est-ce que j'aime comment tes textes sont plein d'émotions !
Je ne sais pas le pourquoi du comment. Mais je n'en ai pas besoin. Rowena sait. PAf, ouah. Et Godric ne sait pas parler, c'est tellement Gryffondor !
J'aime aussi ton choix de mots qui est toujours d'une justesse parfaite. "Son rictus se colore d'amer." par exemple. C'est si beau ♥︎
Bravo à toi,
winter
Mais pourquoi n'y a-t-il pas encore de reviews sur cet OS absolument magnifique ? Je suis outrée, il faut remédier à ce drame.
En parlant de drame, tu es toujours excellente dans ce registre. Le texte commence très fort et j'ai trouvé ça intelligent d'ouvrir le bal avec tout ce champ lexical du feu, des teintes rouges qui représente Salazar pour ensuite passer au bleu, à la glace, au froid de Godric qui est pourtant celui qui est consumé. L'image est très poétique et très visuelle, sorte de synesthésie émotionnelle.
Encore une fois c'est un texte dont on connaît l'issue et pourtant la chute n'en est pas moins violente ni moins blessante. Mon petit cœur saigne un peu mais ça va. J'ai trouvé que tu avais réussi à intégrer les protagonistes secondaires (Helga, Rowena) et l'audience (les élèves) par touche et avec brio, ça donne cette sensation d'yeux qui épient pourtant le faisceau reste braqué sur le duo Salazar/Godric. L'image finale et la comparaison vampirique clôt à merveille ce que tu avais commencé : on part de la flamboyance pour arriver à la froideur pâle du cadavre. Jolie métaphore filée. ♡