Hey, je ne pensais pas commencer ce texte sur des bébés ^^ Je viens de finir une fic sur l’époque maraudeurs jusqu’à la guette, spoiler alert, ils meurent (presque) tous à la fin, alors je rejoins Marlene qui a des pensées sombre en voyant la vie. « La violence qui va les bercer » c’est aussi une image forte. C’est touchant de voir qu’elle ne peut pas penser à la violence quand Neville est dans ses bras et prend son doigt, elle se l’interdit ? Ou c’est juste impossible ? L’image est belle, je vois une peinture italienne, une femme marquée par tant d’épreuves, et puis l’innocence et la vie incarnée. Oula je pars peut-être trop loin ^^
Quand elle dit des choses comme oublier le sourire, ou alors oublié qu’ils étaient heureux, ça nous plonge dans une ambiance noire noire noire de la guerre (encore une fois avec la fic que j’ai lue, j’étais déjà bien dans le mood), c’est si fort comme image. Ne pas sourire, ne pas avoir de raison pour sourire…
À un moment tu parles d’ombres que tu détaches lorsqu’elle lui démêle les cheveux, on retourne à l’île des enfants perdus, sauf que cette fois-ci, il ne faut pas l’attraper.
Ok instant fangirl : Remus le traiter ?! Non mais gebdksjnm j’arrive pas à supporter ces mots même si je sais que c’est canon, je me dis que tant de gâchis, c’est pas juste, bref je radote, nous sommes tous d’accord sur le sujet (enfin je crois, je ne veux pas abuser de mon opinion, mais Jily et toute la clique, non, non, non, on ne se remet pas de tant de drame). Et encore moins quand on arrive à ce récit glaçant de la mort de Marlene… J’ai pas les mots.
Tu manies très bien l’art des mots, tes textes sons des petits bonbons à déguster, je devrais plus en abuser. Merci à toi,
winter
Hey, encore une fois, c’est la sonorité de tes mots qui me frappe (blonds/illusion et bras/ là-bas) ^^ C’est toujours au bon moment. Ça frappe paf comme ça, comme un gong qui souligne l’importance de ces mots. C’est bien trouvé, bravo. Il y a aussi les é.er qui mène à Regulus effacé.
Le Je est plus fort, comme si Regulus est plus lucide. Ce qui est le cas, il voit même sa mort arriver.
« Des mots tranchants au bord des lèvres » ha ha, tu es toujours aussi juste dans ton choix de mot, je me répète, je sais, mais cette poésie noire, est juste exquise à lire.
Et la fin où on revient à cette métaphore de disparaitre. Effacé/disparaitre, si jamais on avait un doute sur sa mort prochaine, maintenant on ne peut plus l’ignorer. Le gong à sonné.
Bravo à toi, vraiment !
winter
Hey,
Ce qui m’a d’abord frappé dans ton texte, c’est la sonorité comme avec le canapé éclaté. J’ai aussi comment parfois les phrases sont simples pour dire des choses pas si simples. Elle n’a pas souri, on ne comprend pas tout du pourquoi, il y a des choses qui relèvent des émotions et des sentiments, c’est tout ça que veut dire ce sourire. J’aime les noms-dits, la grande part aux émotions, à comment il délire dans sa tête « labyrinthe imaginaire », qui n’en a pas ? Et puis cette lucidité vis à vis de lui « Je serais toujours le meilleur à me détester » même si le site a un fond rose bien mignon, ce texte dégorge d’une noirceur où on pourrait s’enliser.
(Et j’adore le dark !)
Puis tu parles de l’île des enfants perdus, j’ai tellement aimé cette image. Oui, totalement, et James est Peter Pan, il réunit les gens (Sirius, Remus, Peter) et puis un jour l’amour l’appelle. C’est magnifique.
Chaque phrase prononcée est d’une force, encore une fois j’adore l’honnêteté de Sirius. Il ne se cache pas, il est à nu.
Je file lire la suite,
winter
Eh bien des trois je pense que c'est Marlène que j'ai préféré. Ses mots ont une telle puissance... Tu lui donnes une voix, une consistance. On sent toute sa peur qui suinte et qui se mue en colère parce que c'est sa seule façon de se protéger et puis en désespoir parce qu'elle s'en qu'elle n'y arrivera pas. Et c'est horrible. On a beau connaître la fin je trouve que ça arrive comme un coup de poing et ça m'a réduit mon petit cœur en miettes. Mais je suis maso parce que j'aime bien cette fin et son côté si définitif et si tragique – parce que ça ne peut pas finir autrement avec des personnages pareils, avec un contexte pareil. Tu sublimes la misère, tu sublimes le désespoir, tu sublimes la mort.
Tu subiimes l'amour, aussi, et pourtant c'est un amour si toxique et si malsain dans le déséquilibre des relations mais il y a cette fragilité qui transparaît et ce besoin de s'accrocher, de se raccrocher, à quelque chose, quelqu'un, n'importe quoi, chez les trois, finalement. Encore une fois, horrible et cruel mais terriblement humain. Je crois que c'est aussi de là que vient la beauté de ton texte, de l'humanité qui s'en dégage à travers les failles. Merci pour cette sublime fanfiction ♡
Les pièces s'emboîtent pour former une histoire un peu horrible et un peu triste et bien trop touchante. Tu écris aussi bien Regulus que Sirius, peut-être même plus, ce côté doux-amer, garçon maudit sans repère qui cherche despéremment un sens à sa vie qui veut oublier qui veut être un autre qui veut être Sirius, finalement. Ton texte m'a submergée, m'a conquise. C'est beaucoup d'émotions, toujours sous cette forme filée-morcelée. Tes mots sont si bien choisis, mordants et attendrissants à la fois et je n'arrive pas à savoir si ça me fait éprouver de la peine ou de la compassion ou de la pitié ou un peu de tout ça à la fois.
Ce que j'ai beaucoup apprécié également c'est ta façon de lier d'autres histoires dans le sous-texte. Il y a du non-dit qu'on devine, des intrigues tragiques en écho et ça donne beaucoup de relief à l'histoire, de la profondeur aux personnages. Ça rend la chose encore plus vivante ♡
Coucou Calixto, je suis super contente de commencer par cette fic car je l'avais vue passer en modération et je m'étais dit "il faut trop que je laisse une review" et je ne l'ai jamais fait. Quel plaisir de redécouvrir ton texte et de redécouvrir Sirius sous ta plume – tu choisis toujours tes mots avec beaucoup d'efficacité, je trouve, il y a un côté sobre et à la fois tellement poétique qui se dégage de tes textes. Ici tu manies à merveilles la palette d'émotions, les différents passages s'entrecoupent et se complètent et c'est toute une histoire en si peu de mots, je suis impressionnée. Tout n'est pas toujours clair et on sent aussi que c'est le brouillard dans la tête de Sirius, tu retranscris si bien cette dynamique et j'ai adoré la forme et l'ambiance que ça donne à ce texte/chapitre.
J'adore le Sirius/Marlène surtout quand c'est discordant et imparfait comme ça alors on peut dire que tu m'as ravie ♡
Hiiiiiiiiii FINALLY !!! Une petite histoire à chapitres ! My. God. C'est Noël avant l'heure quoi *.* Tellement contente de retrouver ce triangle amoureux siiiii prometteur.
Et tu commences fort punaise. Le petit Sirius est bien abîmé quand même oO J'aime beaucoup comme tu retranscris cette atmosphère évanescente par les mots, le jeu sur l'ombre, la frontière entre le réel et l'imaginaire. Comme si tout s'évaporait dès qu'il cherche à s'approcher, ça fait totalement junkie. Et puis cette temporalité floue aussi, avec les sauts dans le temps, ça accentue l'idée d'un brouillard mental. Je trouve ça puissant.
« Tu es possédée par ta rage, tu m'agonises de reproches que je mérite tous. J'ai toujours mérité tous les reproches. » Charmant le petit couple qu'il forme avec Marlene xD J'aime beaucoup comme tu retranscris le côté malsain de la relation, sa toxicité par les pensées de Sirius qui se sent minable mais aussi par les gestes du quotidien, l'histoire des assiettes en porcelaine notamment.
Il y a une belle poésie qui se dégage de cet OS, une poésie sombre et torturée (of course venant de toi). C'est douloureux à lire et ça veut dire que tu as totalement réussi à nous immerger dans les pensées de Sirius. J'aime les petits détails que tu glisses sur leur relation, le fait qu'il connaisse par coeur ses insomnies, Marlene qui écoute Maugrey alors que lui reste calme juste pour elle, son odeur de miel brûlé (mhooo mais j'adore cette idée !! Ça fait tellement écorchée vive, comment tu y as pensé ????). Et puis l'hôtel... et on sait ce qu'il se passe à l'hôtel (j'aurais aimé dire qu'elle obtient enfin un peu de douceur à ce moment-là mais j'en doute en réalité...)
Et dire qu'il n'y a plus que 2 chapitres... je suis déjà triste de la fin (enfin, peut-être que tu vas prolonger cette histoire qui sait ? :mg:) Je vais de ce pas me mettre à écrire pour pouvoir lire la suite très vite. Enfin, si tu veux publier avant moi ne te prive pas hein ;) Ma dette s'allongera et voilà tout.
A très vite dans ta RAR Cali-fe (à la place du calife... ok, je m'en vais)
Bon week-end à toi !
Réponse de l'auteur:Wap, le Calife est dans la place, je me suis remobilisée un peu rien que pour notre camaraderie ;)
Ohhh Noël avant l'heure... on peut se négocier une Christmas story cette année... je laisse ça là... sur le souk des idées...
"Tout s'évaporait dès qu'il cherche à s'approcher" c'est exactement ça, il vit dans une espèce de brume mi-rêve mi-cauchemar, junkie-Siri.
J'aime toutes tes remarques sur la forme et le fond <3
En fait, c'est le couple avec Marlène...en temps de guerre. Mais oui, c'est malsain, et ça va pas. Tu verras le pdv de Marlène éclaire peut-être sur la chose, elle est plus lucide que lui d'une certaine manière. De toute façon dans n'importe quelle relation Sirius se serait senti minable, je pense, vu le bagage familial qu'il porte et sa difficulté à le porter.
Une poésie sombre et torturée, hiiii <3 tu sais me parler. Ravie d'avoir réussi à te faire plonger dans la psyché décomposée de Sirius, yay, finalement j'ai peut-être bien mérité ton drama et cliffhanger *sob*
Aww mais tu as tout vu... Le miel brûlé c'est une des premières images que j'ai eu à propos de Marlène, je trouvais ça étrangement parlant (ouii écorchée vive, exactement) mais j'avais pas encore réussi à la caser dans une fic ici, c'est chose faite.
Ahhh l'hôtel... (clin d'oeil de coach effrayant). Hum... elle obtient un répit qu'elle va regretter, disons...
Oh, il n'y a plus que deux chapitres, mais tout s'achète, tu sais (double clin d'oeil de coach effrayant). Ta dette s'allonge, alors, parce que je viens de publier la suite (je sais je suis Mère Noël aujourd'hui, c'est parce que j'ai déjà beaucoup trop écouté Mariah Carey pour un mois de novembre, mon cerveau s'est littéralement reprogrammé).
Bon week-end (à bosser sur ton RM et ton cliffhanger, n'est-ce pas ? triple clin d'oeil de coach-calife) Wap' et à bientôt sur Regulus ! <3
Hello... si bien écrit, comme toujours : un coup de poing dans mon ventre et mon coeur < 3 Juste ce qui faut dans ton texte pour être aussi détruit que lui et que Sirius.
Une petite citation pour la route : "Je délaisse mes vapeurs pour me noyer dans une bouteille. Tu vas me détester." si, si... si Calixto ahah.
Peu de choses à dire pour l'instant à part que j'attends la suite avec impatience ! Des calins < 3
Réponse de l'auteur:Hello Ju', ça me fait super plaisir que tu sois passée ici <3 pour laisser ce retour adorable <3
Aw et tu sais que j'aime toujours les phrases que tu relèves ! La suite arrive justement :)
Des calins <3
Cal