alors, une petite histoire qui est au début un cadeau pour une copine mais j'ai eu envie de la publier. elle n'est pas géniale, tout du moins je trouve.
pour ceux qui lise mon autre fiction ( Brune .... ) le chapitre 6 est en travaux, il ne devrait plus trop tarder
Savez vous ce que c'est d'être perpétuellement insultée et rabaissée par l'un de vos professeurs ? Nan ? Si ? Moi c'est ce que je connais depuis 7 ans. Depuis ma rentrée et mes années d'études avec mon professeur de potions. Vous le connaissez, j'en suis certaine ! Oui, le professeur Rogue. Un être abjecte en premier lieu mais un excellent maître en potion. Mais ce qui me rassure, c'est que je ne suis pas la seule à être ainsi insultée en permanence. Je veux bien sûr parler de Harry Potter ou encore Neville Londubat. Il bat les records avec lui.
Qui suis-je ? Je m'appelle Etoile Simon, j'ai 17 ans et je suis élève en septième année à Serdaigle. Je suis de nature réservée, timide et renfermée. Je parle peu aux autres élèves de ma maison. Il m'arrive de discuter avec l'un d'eux mais très rarement. Le seul a qui j'adresse la parole, c'est ce Neville. Sa faible c'est ma force. Son point faible est mon point fort : les potions. Il n'arrive pas alors que moi j'excelle. Mais nous avons un point commun : le rapport que nous avons avec Rogue. En effet, son manque de talent fait l'objet de raillerie de la part de ce prof et moi, ma maîtrise de cette matière n'est pas ralliée mais mon manque de sociabilité, lui , est souvent un plaisir pour le professeur pour m'insulter et se moquer.
Je suis une jeune fille brune avec des yeux bleus turquoises qui jurent particulièrement avec mes cheveux. Je ne suis pas comme toutes ces filles qui parlent que de maquillage, de vêtements et de garçons. Moi, c'est plus les livres, les études et les étoiles.
Nous le sommes fin juin, il ne reste que 3 jours dans ce maudit château, où je subit tous les jours. Il est 8h et je m'en vais vers les cachots où a lieu mon dernier cours de potions. Comme d'habitude, je suis la première devant la porte. Personne n'ose arriver en retard mais personne n'arrive en avance non plus. Les potions sont ma passion. Le pouvoir d'enlever la vie ou de la guérir à l'aide d'un mélange que seuls nous pouvons contrôler. La capacité à mélanger et créer des breuvage allant du plus anodins et bénins au plus complexe et puissant poison.
Je l'une des seuls à avoir eu accès aux cours de potions pour les ASPIC. Neville ayant été recalé, je me retrouve sans personne avec qui parler. Mais cela n'est pas grave. Je vais pouvoir regardé mon professeur sans être dérangé sans cesse par un élève sans talent. Oui, vous avez bien lu, je vais regardé mon professeur. Et je n'aurai pas honte d'avouer que c'est le professeur le plus intéressant que je connaisse. Les autres élèves le trouvent méprisant, exécrable. Mais pour ma part, je lui trouve un certain charme. Un véritable mystère à résoudre. Il dégage quelques choses de peu commun. Sa droiture d'âme, cette capacité à rester stoïque malgré un exploit possible d'un de ses élèves, ses capes noires qui le rendent intriguant. Mais aussi cette parfaite maîtrise des Potions. Le regarder faire est un véritable plaisir pour moi. Mais évidement, en retour, je n'ai le droit qu'à des railleries et des injures.
Cela fait 10 minutes que j'attends et les autres élèves arrivent, le regard en alerte et silencieux. L'un des rares cours qui se passent sans bruits. Ils se posent en face de moi et fixent leurs pieds. Ils attendent eux aussi. Cette année, seulement 8 élèves ont eu accès aux potions : 2 Gryffondors ( Harry et Hermione ), 4 Serpentards ( dont Drago et Blaise ) et 1 Poufsouffle et moi, la seule élève de Serdaigle.
Harry et Hermione me saluent d'un simple geste de la tête. Le silence le plus complet règne dans le couloir des cachots. Soudain, la porte d'un des cachots s'ouvre et un bruissement de cape se fait entendre et un simple : « dépêchez-vous ». Même le dernier jour, l'ambiance est égale à celle de l'année entière. Nous entrons dans la salle dans le silence complet. Je m'installe à une table seule, en face du bureau, placé devant Malefoy et Zabini. Rogue se place a son bureau, lance un coup de baguette vers le tableau noir sur le coté et nous regarde, un air sadique affiché dans les yeux et dans le sourire.
Rogue : vous avez 3h !
Tout le monde soupire. Il finit notre année en beauté. Mais cela ne me pose pas de problème. La Félix Felicis. Une potion de chance. Un cadeau de fin d'année malgré la difficulté à la fabriquer. Je ferme les yeux et me concentre. Je respire calmement et rouvre les yeux. Je sens cependant une odeur que je connais que trop bien. Je lève les yeux vers le détenteur de cette odeur. Je croise ceux onyx de Rogue. Il sourit, satisfait de sa future phrase.
Rogue : un petit problème Miss Simon ? La potion est trop difficile pour votre petit cerveau de Serdaigle ?
Moi : aucun, monsieur. Je prends le temps de me concentrer pour réussir le défi que vous venez de nous lancer.
Je lui souris en retour, n'attendant rien de plus de sa part. Je me lance ensuite dans la confection de cette potion étudiée pendant les vacances. Les instructions s'élancent dans ma tête, tout est claire, les ingrédients et les consignes. Tout est là, plus qu'à me faire confiance.
3h plus tard, la potion finit de mijoter dans mon chaudron. Rogue s'arrête près de ma table et se penche vers mon breuvage. Il arque un sourcil et tourne sa tête vers moi.
Moi: un problème professeur ?
Rogue : un problème ? Avez-vous donc regarder votre potion miss Simon ? Elle est inadmissible, inacceptable. Et vous vous dites élève de septième année dans ma classe ?
Moi : j'ai suivit les instruction marquées dans le livre et sur votre tableau. Si le résultat de ma potion est fausse, c'est que consigne était mauvaise! Je suis les instructions à la lettre, sans me tromper. Je connais assez bien les potions pour dire celle-ci est largement acceptable. Ce que vous nous demandez est hors de notre niveau. Du moins pour certains. Celle que je viens de faire vaut largement des compliments. Mais si vous êtes incapable de faire preuve d'objectivité, ce n'est pas mon problème mais cela est injuste !
Je me stoppe dans mon discours et ouvre grand les yeux. J'ai osé ? Nan, c'est pas possible ! Je n'ai pas pu l'ouvrir maintenant ! J'ai dis tout haut ce que je pensais. Je relève les yeux vers Rogue. Son expression n'a pas changer. Il est stoïque et ne semble même respirer. Une véritable statue. Je regarde les autres qui ont aussi les yeux grands ouverts. Je crois que j'ai fais la plus grosse bêtise de toute ma scolarité. Mon coeur bat la chamade, je ressens ses pulsations dans mes tempes. 1 minute de passer et aucune réaction de Rogue. Je toussote et retourne à ma potion pensant finalement que je lui est cloué le bec. Je me penche vers mon chaudron et observe le liquide. Tout est nickel !
Soudai, je sens une pression sur le col de ma chemise. Je me sens lever de ma chaise et pousser vers la table de derrière. Mon professeur est rouge de rage. Il semble hors de lui. Ses yeux se plissent et un sourire sadique s'affiche sur son visage cireux.
Rogue : bien, maintenant que vous avez finit votre potion, vous allez me faire le plaisir d'en mettre dans deux flacons, un pour vous et un pour moi pour mettre la note finale à votre trimestre. Le flacon qui vous est destiné, vous le boirez lors de votre retenue de ce soir. Je vous attends donc dans mon bureau ce soir à 8h, aucun retard ne sera accepté.
Moi : autre chose ?
Rogue : Miss Simon, je ne tolèrerai pas plus d'insolence de la part d'une sans amie associable. Vous frôlez l'imbécillité de vous permettre de tenir de tels propos. D'être une Serdaigle vous donne-t-il le droit de vous croire supérieure dans ma matière ? Vous êtes plus idiotes que tous vos congénères. Vous ne valez pas plus que votre ami impotent, ce Neville. Vous faites bien l'affaire tous les deux : l'abruti avec l'associable. Ce soir à 20h ici-même ! Et ne me dîtes pas en cas de retard que vous étiez retenue par des amies. Vous n'en avez pas et cela n'est pas étonnant. Maintenant tout le monde sort de ce cachot !
Je plonge deux flacons dans ma potions et en tends un au professeur. Je range le plus vite possible mes affaires et sors de ce lieu, sans un regard vers les autres élèves. Je suis cependant rattrapé dans les escaliers par Harry et Hermione qui voulurent m'accompagner jusqu'à la grand salle.
Harry : impressionnant !
Hermione : tu aurais du tenir ta langue Etoile ! Il ne va te laisser t'en sortir comme ça !
Harry : mais c'est géant ce que tu lui as dit ! J'en rêvais !
Il rigole mais cela ne me fais pas rire. Je repense aux mots d'Hermione. Elle a raison, j'allais en baver ce soir. Mais je préfère ne pas y penser pour le moment. Je répondrais de mes actes et de mes paroles ce soir. Mais je compte aussi faire ce que je veux depuis près d'1 an. Embrasser Rogue. Et lui dire ce que je pense de lui. Étant la dernière fois que je vais me retrouver face à lui alors autant en profiter. Mais trouverais-je le courage pour le faire ? Je verrais bien ce soir.
Je fais un léger sourire à Hermione et Harry et prétexte un rendez vous de l'autre côté du château. Ils me laissent partir non sans oublier de me mettre en garde contre les tendances de Rogue sur les retenues.
Je m'isole dans la tour d'astronomie. Là au moins, je suis au calme, loin de brouhaha des autres élèves de ce collège. Le silence me calme et me permet de réfléchir. Comment réussir à approcher Rogue assez près pour pouvoir l'embrasser ? Le coller contre le mur et l'embrasser avec fougue? Me placer de manière subjective à ma table et le mener à moi ? Le menacer d'un chaudron ?
J'ai plein d'idée mais toutes me paraissent idiotes. Je sais déjà que je vais lui dire ce que je pense de lui sans avoir peur des conséquences. Après tout, il ne reste que 3 jours, j'arriverai bien à l'éviter pendant ce temps là et ensuite rentrer chez moi pour entamer des études de potions par la suite.
Je souffle un grand coup, me relève et me dirige vers la tour des Serdaigles.
20h est arrivé bien trop vite. Je prends mon flacon de Félix Felicis et me dirige vers les cachots. À cette heure, ils sont bien plus glacial qu'à l'ordinaire. Les couloirs sont plus sombres et les sens sont tous en alerte. J'arrive devant la salle de Rogue. Je cogne discrètement. La porte s'ouvre toute seule et je me permets d'entrer. Noirceur, odeurs et crépitements. Les trois éléments caractéristiques des potions. Le professeur Rogue est assis à son bureau, le nez dans les copies. Je m'avance et m'assois à ma place habituelle. J'attends calmement, sans faire remarquer ma présence à Rogue. Cependant il lève les yeux vers moi. Il se lève de sa chaise et se place devant moi, les mains posées sur ma table. Il se penche vers moi, me permettant de sentir son haleine. Une légère odeur d'hydromel s'en dégage.
Rogue : bien vous êtes à l'heure. Cette ponctualité souligne bien l'absence d'amie qui vous caractérise Miss. Bien, maintenant, vous allez me laver ces chaudrons et ranger les ingrédients par ordre alphabétique. Et vous avez 2h.
Moi : bien monsieur.
Je me mets à la tache dans attendre. Autant garder un maximum de temps tout à l'heure pour tout lui avouer. Mes mains tremblent et deviennent moites. Le stress se fait ressentir. Le temps passe et ma tâche se finit. Je me retourne vers Rogue, toujours concentré sur ses copies. Je me pose face à son bureau et toussote. Il relève les yeux et les plante dans les miens.
Rogue : un problème Miss ?
Moi : j'ai finis ce que vous m'aviez demandé de faire.
Rogue : bien vous pouvez disposer.
Je me dirige vers la sortie, blasé par le peu de considération de la part de ce professeur. Cependant je m'arrête sur le bas de la porte et pose ma main sur l'encadrement. Je baisse la tête et ferme les yeux. Je souffle un bon coup et me lance.
Moi : professeur, je voudrais vous avouer ce que j'ai sur le coeur avant de partir en vacances.
Rogue : vous n'avez donc personne dans ce collège qui puisse vous supporter ? Arrêtez de m'importuner et retourner avec vos camarades Serdaigles.
Moi : pourquoi être si désagréable avec vos élèves professeur ?
Rogue : Miss, vous allez m'écouter …
Moi : nan ! Vous, vous allez m'écouter !
Je me retourne vers lui mais ne bouge pas de l'encadrement de la porte. Il semble surpris mais ne pas franchement étonné.
Je regarde parterre pour le moment. Le temps de chercher mes mots et les bonnes tournures de phrases.
Moi : vous vous prenez pour qui professeur ? Vous n'avez en aucun cas le droit de nous rabaisser comme ça, comme vous le faites en permanence. Vous n'êtes en aucun cas supérieur à nous ou du moins humainement. Vous êtes un homme, un être humain comme nous tous. Vous avez simplement la supériorité de l'âge et sociale. Vous êtes professeur. Et c'est tout.
A cause de votre mépris pour vos élèves, vous avez développé le manque d'intérêt que l'on a pour vous. On vous rejette et à notre tour on vous méprise. Vous ne méritez pas le respect que l'on porte en principe aux professeurs. Vous avez certes le rôle mais vous n'en avez pas l'étoffe.
Cependant, lorsque l'on cherche à en savoir un peu plus sur vous, on se rend vite compte que vous êtes quelqu'un de très intéressant. Vous êtes un maître dans votre matière, vous maniez les potions comme d'autres manient les sortilèges. Vous êtes intriguant et contre toute attente vous avez un certain charme. Oui, vous avez bien entendu, vous avez un certain charme. Votre façon de lancer des répliques cinglantes, votre concentration lorsque vous expliquer les instructions ou encore même si vous ne le montrez pas, votre passion pour les potions lorsque vous nous parlez d'elles.
Et c'est ce qui fait que je me suis intéressée à vous. Je vous ai observé et défendu dans la salle commune de Serdaigle lorsque les élèves médisaient contre vous. J'ai tenu des propos élogieux. A un tel point que personne n'a plus voulu me parler. Voilà la raison de mon manque d'amis.
Vous dites de moi que je suis sans amis mais vous en avez-vous ? On ne vous voit jamais parler à d'autres professeurs, pas de rendez-vous à l'extérieur. Vous ne voyez personne d'autre que vos potions. Vous êtes seul et sans amis vous aussi. Vos propos étaient déplacés. Mais je n'en tiens pas rigueur. Après tout, c'est de la frustration et de la rage qui vous a fait dire ça. Oui, de la rage. Vous n'avez pas supporté que quelqu'un et encore plus une simple élève de 17 ans réussisse une potion de niveau supérieure.
Au fur et à mesure de mes paroles, je m'avance vers lui. Il c'est levé et me toise. Je me plante face à lui. Il me dépasse d'une tête. Je lève la tête vers lui et continue d'avancer le faisant reculer vers le mur du fond.
Rogue : cessez tout de suite.
Moi : nan ! Je continue et écoutez moi. Pour vous, personne n'est apte à vous parler, à vous côtoyer. Mais sachez que moi, je sais que vous êtes différent. Je vais tout vous dire. Tout m'intrigue en vous. Tout en vous me plait aussi. Vous dégagez quelques choses de peu commun. Votre droiture d'âme, vos capes noires frôlant le sol à chacun de vos pas, le sourire qui s'affiche sur votre visage lorsqu'un élève loupe sa potion. Mais aussi cette satisfaction qui se traduit par un sourire sadique quand un élève réussit sa potion. Ce que vous m'avez dit ce matin sur mon Félix Felicis traduit cette satisfaction.
Il est collé contre le mur. Nos corps sont collés et je ne peux plus reculé. Je suis lancé autant en finir. Je lève mon visage vers lui et me mets sur la pointe des pieds. Nos visages sont à peu près à la même hauteur. Son souffle, saccadé, effleure mes lèvres. Plus que quelques centimètres et j'y gouterais. Je me rapproche toujours un peu plus. Et je finis par prendre mon dû. Ses lèvres sont douces, mais pas sucrées comme je les imaginais. Elles n'ont pas spécialement de goût. Si ce n'est un arrière goût d'hydromel. Je me presse un peu plus contre lui. Je détache mes lèvres des siennes, reprenant mon souffle et le regarde dans les yeux. Il n'essaie pas de bouger, d'esquisser un mouvement. Il se contente de me regarder dans les yeux, plongeant deux onyx dans deux océans turquoises. Puis dans un deuxième élan de courage, je reprends possession de ses lèvres. Mais cette fois-ci pour un baiser un peu plus poussé. Il ne répond pas comme je l'espérais mais ne reste pas stoïque comme à son habitude. Il répond doucement sans prendre les dessus.
Finalement je me détache définitivement de lui et me recule. Un dernier regard et je me dirige vers la porte. Je m'arrête encore sur la pas de la porte.
Moi : c'est tout ce que je voulais dire. Comme c'était le dernier jour, je voulais n'avoir aucun regret de mes années de scolarité. Bien, au revoir professeur. Et surtout ne changez rien à votre manière d'enseigner finalement. Il se peut que cela plaise à d'autre élèves.
Je ne me retourne pas et pars dans ma salle commune. Je me pose dans un des gros fauteuils et me laisse aller à l'imagination. Il me cherchera peut être demain et me dira qu'il veut essayer quelque chose avec moi. Mais cela ne me semble pas possible, cela ne colle pas avec le personnage. C'est donc avec ce dernier geste que ce finit mon année.
3 jours plus tard.
Tout le monde est réunit sur le quai du Pré-au-lard pour le départ en vacances. Les élèves courent d'un bout à l'autre pour dire au revoir à leur amis. Les professeurs observent toute cette agitation. Moi, je suis déjà dans le train, un livre à la main. Mais je prends, tout de même, le temps de regarder l'effervescence de ce jour. Mon regard se pose sur les professeurs présents et les fixe un à un. Dumbledore sourit et fait des gestes de la main, McGonagall sourit elle aussi mais ne fait rien de plus. Puis je croise le regard de Rogue. Je me sens rougir mais ne détourne pas mon regard. Après tout, je n'ai rien à me reprocher. J'ai suivis mon coeur. Son regard reste planté dans le mien. Ses yeux onyx resterons gravés dans ma mémoire. Le conducteur du train lance un appel, le train ne va pas tarder à partir. Les derniers élèves montent et celui-ci s'ébranle. Je fixe le regard de Rogue jusqu'à ce que je puisse plus le voir. Poudlard se fait de plus en plus petit. Je n'ai rien à regretter de mon geste. Seulement j'aurai bien voulu une réponse à l'appel que je lui ai lancé.