Chat alors !
Non mais ce n'est pas vrai quel idiot ce type. Il attend quoi ? Ce n'est pas compliqué, un dîner un baiser. Il ne faut pas être Einstein pour savoir ça.
C’est qui cet abruti qu’elle nous a ramené encore, entre poil de carotte et l’albinos on n’est pas vernit. Et il fout quoi encore celui-là ?
Non je rêve, il regarde ces livres, mais faites une partie de scrabbles aussi pendant que vous y êtes. Je n’y crois pas. Ah ! Il parle de la soirée.
-J’ai bien aimé le veau, commença l’Albinos.
Oui et moi je vais adorer te mordiller les pieds, enfin quoi que vu comment t’as l’air lent du cerveau, ça risque pas d’arriver avant quoi le vingtième rendez-vous. Je suis d’accord avec ma Mione sur le fait de ne pas coucher au premier rendez-vous, mais là c’est le troisième.
-Oui moi aussi Drago, affirma Mione.
Ah parce que toi aussi tu as pris du veau, je croyais que tu étais végétarienne, voilà blondinet qui se pointe et tu oublies tout, non mais n’importe quoi. Et il compte se remuer la queue lui (sans mauvais jeu de mots bien sûr) ou rester planter comme un piquet au milieu du salon.
Ah non il s’assoit, bravo, victoire ! Hourra !
Je vais aider Hermione, allez courage P, je monte sur bouclette et je lui urine dessus, le pauvre il n’a rien vu venir.
-Bordel, c’est quoi ce truc ? Hermione !
Hermione ! Hermione ! Non mais ce n’est pas vrai va pleurer dans les jupes de ta mère aussi, pendant que tu y es. Hermione ton mec est un lâche et un pleurnichard. Ah il porte un slip vert, ok j’ai compris c’est un Serpentard, ceci explique cela.
-Oh mon pauvre Drago, souffla Mione avant de me jeter un regard réprobateur.
-Oui c’est vrai, mais bon le spectacle en vaut la peine, dit-il poète raté.
Vas-y et récite lui Shakespeare au point où on en est, je m’allongeais sur le canapé. Vaut mieux ne rien faire.
Hermione l’emmène dans sa chambre et j’espère pour elle dans son lit, quoiqu’il n’ait pas l’air très dégourdi.
Dix ans plus tard :
-Ah non Hermione ça ne va pas le faire. Dix ans que je supporte ça, il me mordille les pieds.
Oh mais quel gamin ! Je n'y crois, toujours obligé de se plaindre et de se fourrer dans ses jupes dans les deux sens, cela va de soi.
Hermione me sortit de la chambre, non mais ce n’est pas vrai. Je m'allongeais sur le tapis.
Je m’étirais quand Hermione ressortit de sa chambre, elle vint me voir et me caressa avant de me servir des croquettes. Eh oui, c’est moi Pattenrond.