Ses idéaux étaient une raison de lutter.
Ses amis étaient une raison de ne pas laisser tomber.
Ses parents étaient une raison d'avancer.
L'amour qu'elle vouait à chacun d'eux et que louait Dumbledore avait habillé ses matinées d'espoir, animé ses soirs d'impétuosité.
Et craquelé son cœur quelques fois, aussi, un milliard, peut-être.
Puis Ron l'avait réparé, et réparée.
Ses lèvres sur les siennes, et le cœur contre le sien, elle irradie et s'élève sur une mélodie qu'elle se rêve.
Celle d'une victoire qui se dessine, d'une paix qui se profile, celle d'une vie qui s'esquisse au doux goût d'un baiser.